RPA PROCESS loue 650 m² de bureaux, aux 18-22 rues Arras à Nanterre. L’entreprise spécialisée en process de filtration et en mélange en continu, emploie 40 personnes. Michel Jamey, propriétaire et dirigeant répond à nos questions.  Leur site internet : www.rpaprocess.com

 

CP : Votre style de bureau, c’est plutôt :

Michel Jamey : Classique. Des bureaux fonctionnels, c’est le maitre mot !

 

CP : Que représentent vos bureaux ?

Michel Jamey : C’est un lieu de vie et dans notre cas une économie. RPA PROCESS occupait précédemment 1 000 m² et aujourd’hui nous sommes installés sur 650 m² !

 

 CP : Que privilégiez-vous ?

Michel Jamey : Le quartier. Les collaborateurs comme moi-même souhaitions rester dans ce quartier à proximité de la ligne du RER A. En conservant la même implantation géographique, j’étais convaincu que le personnel adhèrerait au projet. Les patrons sont de plus en plus attentifs à leurs salariés….Désormais, ils privilégient le confort de leurs salariés en intégrant la question de leurs transports.

 

CP :  Le déclic pour bouger ?

Michel Jamey : D’une part, l’échéance du bail d’autre part, la présence d’amiante dans l’immeuble obligeant le propriétaire à procéder à des travaux de mise aux normes. De plus, je venais de racheter RPA et un déménagement représentait une opportunité idéale pour faire « table rase » du passé. Les nouveaux locaux de la rue Arras nous permettaient d’imaginer une nouvelle entreprise, un nouveau départ…

 


 CP : Qui a participé à la réflexion immobilière ?

Michel Jamey : J’ai suivi les conseils de mon agent immobilier Arthur Durand. Une fois le choix du site arrêté, j’ai demandé l’accord de mes salariés qui ont d’ailleurs participé à la réflexion sur les travaux d’aménagement.  


CP : Le déclic pour choisir ?

Michel Jamey : Un bâtiment conforme, un loyer correct, la proximité de la station RER Nanterre Préfecture. 
Les deux parties ont pu conclure rapidement un bon deal, le propriétaire comme moi-même étant des décideurs indépendants. Cela nous a permis d’être souples et réactifs dans la négociation du prix comme dans la signature du bail. Le bail a été signé en une semaine soit un mois et demi après le début des visites en avril. RPA a pu emménager début septembre !    
Le propriétaire s’est engagé à rénover les bureaux et en contrepartie nous avons pris en charge des aménagements plus spécifiques. RPA a signé un bail classique 3/6/9 avec des pénalités en cas de sortie anticipée au regard des montants financés par le propriétaire (2/3 au bout de 3 ans et 1/3 au bout de 6 ans).   

 

CP : Pourquoi CBRE ?

Michel Jamey : Votre réputation vous précède…. Mais, RPA avait déjà travaillé avec CBRE et cette expérience réussi m’a poussé à avoir  un contrat moral avec CBRE et à m’engager avec le conseiller en  immobilier Arthur Durand. 

CP : Quels ont été les travaux incontournables ?

Michel Jamey : Le recloisonnement et le câblage que nous avons pris à notre charge tandis que le propriétaire s’est chargé de l’électricité, du chauffage et des sanitaires.

 


CP : Pensez-vous avoir fait des erreurs, si oui lesquelles ?

Michel Jamey : Oui, l’estimation de la surface. J’ai construit une stratégie modeste en reprenant la société. Aujourd’hui, je réalise qu’une flexibilité de 50 m² supplémentaires serait un atout.  

CP : Quel conseil immobilier donneriez-vous à un ami ?

Michel Jamey : Etre accompagné par un professionnel. Il est indispensable de comprendre « les règles du jeu » du secteur de l’immobilier d’entreprise. Prendre le temps de visiter des bureaux même s’ils ne correspondent pas d’emblée à vos besoins. La bonne décision ne se prend qu’en comparant différents biens. Il faut aussi se garder des coups de cœur et revisiter posément.

CP : Quels sont les défauts et les qualités d’un agent immobilier ? Quelles sont, à votre avis, les idées préconçues que l’on peut avoir sur un agent immobilier ?

Michel Jamey : Je ne me pose pas la question en ces termes. On associe souvent les agents immobiliers à des vendeurs, un métier qui porte en soi la plupart du temps une connotation péjorative. Comme j’ai été moi-même vendeur, je suis en mesure de comprendre et d’analyser ce métier. J’apprécie ce métier que l’on peut appeler  vendeur, commercial ou  VRP peu importe. La question qui se pose est d’être un bon ou un mauvais vendeur. Si j’ai choisi de travailler avec Arthur Durand c’est parce-qu’il m’a convaincu par son sérieux et son honnêteté professionnelle.

 

CP : Qu’est-ce que vous préférez dans votre bureau ?

Michel Jamey : La distribution de l’espace et le mix de surfaces vitrées et des surfaces pleines. On dit que 13 mètres c’est la profondeur idéale pour un plateau de bureau ! Et bien cela me parait vrai : les bureaux de taille optimale sont parfaitement distribués de part et d’autre du couloir

CP : Une bonne adresse dans le quartier ?

Michel Jamey : Oui bien sûr, « L’autre histoire » une brasserie boulevard Arago à Nanterre. 

CP : Votre devise professionnelle ?

Michel Jamey : Je n’aime pas les phrases toutes faites…Je suis pour la simplicité et le plaisir de la vie !